samedi 29 octobre 2011

-          Tu avais promis Nancy !
-          Oui, je sais ! Je suis désolée, n’en parle pas à Fannie et maman s’il te plaît !
-          C’est déjà ce que j’ai fait la dernière fois !
-          S’il te plaît !
-          Non, je ne peux pas faire ça !
-          Marie !
-          Alors les filles, on vous attends pour commander !
-          Oui, on arrive !
-          Tout va bien !
-          Non !
-          Oui !
-          Vous êtes sûre !
-          Oui !
-          Non !
-          D’accord ! Mais on vous attend on est sur une table du fond. François et  sa copine sont arrivés.
Je suis partie devant, je ne voulais pas prendre le risque que Marie le dise à Fannie et que je sois là, mais Marie m’a suivi alors que Fannie allait se laver les mains.
-          Merci !
-          De quoi ?
-          De ne pas l’avoir dit !
-          Cela ne veut pas dire que je ne dirais rien !
-          Ah bon ?
Marie a fait depuis tour pour rejoindre Fannie aux toilettes. Je savais que je n’aurais pas dû douter de Marie, mais c’était trop tard, je ne pouvais pas la suivre sinon les choses s’agraveraient.
-          Ah enfin, te voilà !
-          Bonjour François, bonjour Sophie !
-          Comment vas-tu petite sœur ?
-          Bien et toi ?
-          Ça va !
Fannie et Marie sont arrivées ensemble.
-          Voilà !
-          Pas ici !
-          Il va falloir que l’on parle toutes les deux Nancy !
-          Fannie pas ici, s’il te plaît !
-          Ne t’en fais pas pour ça, mais je n’oublierai pas !
François, Adeline et Sophie ne comprenaient pas notre conversation. Enfin Maman et mon frère qui me connaissait bien ainsi que Fannie savaient plus ou moins de quoi il s’agissait.
Nous avons commandés puis à la fin, pour le dessert François a fait venir un gâteau, puis avec Sophie ils nous ont annoncé qu’ils allaient avoir des jumeaux. Puis, avant que tout le monde commence à manger le dessert, François a fait sa demande en mariage à Sophie.
Avant de rentrer dans la voiture, pour retourner à la maison, Marie m’a demandé de l’excuser mais que je l’avais provoqué. Je lui ait dit qu’elle avait eu raison surtout que ce n’était pas la première fois que je lui demandé de cacher cela à Adeline et Fannie, et que de tout façon elles auraient sûrement fini par le voir. Dans la voiture, Marie a essayé de convaincre Fannie que ça n’arriverait plus, mais Fannie était décidé à tenir sa promesse puis que j’avais rompue la mienne. Maman comprenait la conversation au fur et à mesure, elle s’est retournée pour me faire savoir qu’elle était déçue. J’avais honte de moi, j’avais promis de ne plus me faire de mal, et non seulement je m’étais fait du mal, mais en plus j’avais déjà brisé cette promesse une première fois et j’avais aussi brisé la nouvelle que j’avais faite à Marie pour éviter les conséquences la première fois. Je me suis mise à pleurer, j’ai demandé pardon à Marie, mais elle ne savait plus quoi me répondre, quand maman lui a demandé si c’était la première fois depuis la promesse que j’avais faites à Fannie.
En arrivant chez Fannie, Marie et Adeline sont parties dans le salon, et Fannie m’a pris par le bras très tendrement et elle m’a emmené dans ma chambre.
-          Montres-moi !
-         
-          Dépêches-toi, tu vas aggraver ton cas.
J’ai enlevé mon haut, et là elle a compris pourquoi Marie lui avait dit.
-          Te souviens tu de la promesse que tu m’avais faites la dernière fois ? Enfin, au moins l’avant dernière fois ?
-          Oui !
-          Dis la moi !
-          Je ne dois plus me blesser, …
-          Continue !
-          Sinon Fannie me donnera une fessée avec la …
-          Alors ?
-          Cuillère en bois de la cuisine.
-          Et tu as rompue cette promesse !
-          Oui !
-          Qu’elle est celle que tu as faite à Marie pour qu’elle ne m’en parle pas la première fois !
-          Que je ne le ferai plus c’est tout !
-          Bien ! Donc, tu as brisé deux promesses !
-          … Oui !
-          Vas chercher la cuillère, j’ai quelque chose à demander à Marie ! Tu remonte et tu m’attends pour ta punition.
-          Fannie, s’il…
-          Non, moi je vais tenir ma promesse. Allez descends faire ce que je t’ai demandé.
Je suis descendue, je ne trouvais pas la cuillère, donc Fannie est revenue avant moi dans la chambre. Elle était assise sur le lit, elle avait un air sévère et inquiet à la fois sur le visage. J’avais le visage plein de larmes parce que je pleurais de honte, j’ai posé la cuillère à côté d’elle, j’étais résignée à recevoir ma correction.
-          Approche, Petit cœur !
Le fait que Fannie m’appelle Petit cœur alors qu’elle allait me fesser m’a rassuré un peu parce que je savais qu’elle ne resterait pas fâchée et qu’elle me punissait pour ma faute et non pour soulager sa colère.
-          Enlève tes chaussures !
Je m’exécutais sans discuter, de toute façon, j’avais eu tort de rompre ma promesse et je devais accepter les conséquences.
-          Tu sais que tu mérite cette fessée ?
-          Oui !
-          Peux-tu me dire pourquoi tu t’es fait du mal ?
-          Fannie, j’étais en colère !
-          Après qui ?
-          Après moi !
-          Mais pourquoi ?
-          Pour tout Fannie !
-          Expliques-moi !
-          Je ne sais pas vraiment ! Mais j’ai rompu ma promesse et je dois être punie pour ça !
-          Oui ! Enlève ton pantalon !
-          Maintenant ?
-          Oui et estime toi chanceuse, que je ne te déculotte pas toute de suite et que je n’utilise pas le martinet !
En me voyant reculer, Fannie a compris que j’accepterai ma punition, mais que cela me faisais peur quand elle me parlait d’utiliser autre chose. Donc malgré que j’aie rompu ma promesse elle ne devait pas rompre la sienne. Juste avant que je descende mon pantalon, Fannie m’a retenue.
-          Non, on va commencer comme ça !
-          Merci !
Fannie s’est levée, elle s’est placée derrière moi, uniquement dans le but de faire durer l’attente. Marie et maman dans le salon discutaient, Marie était inquiète et maman essayé de lui faire dire les raisons de mon acte, mais elle n’en savait rien non plus. En passant derrière moi Fannie a remarqué des bleus dans mon dos, mais elle n’a rien dit. Elle s’est assise sur le lit, avec toujours le même air sur le visage.
-          Viens !
-         
Elle m’avait autorisé à garder mon pantalon pour commencer la fessée, mais elle était déjà très ferme dès les premières claques.
Je ne disais rien, je pleurais mais en silence, j’avais mérité cette punition, j’ai essayé de compter, mais j’ai vite arrêté pour pleurais.  Mes fesses chauffaient déjà et ce n’était que le début, Fannie m’a demandé de me relever.
-          Enlève ton pantalon maintenant !
-         
Elle m’a recouché sur ses genoux et elle a repris la fessée sur ma culotte mais avec autant de fermeté. J’avais hâte que ma correction se termine mais en même temps, je ne voulais pas que Fannie arrive au déculottage et encore moins que la cuillère arrive dans la partie. Mais le moment que je redoutais est arrivée assez vite, Fannie a descendue ma culotte lentement, le long de mes cuisses et comme j’ai tenté de l’en empêcher, elle m’a claqué les cuisses qui jusque là étaient encore bien blanches. Elle n’aimait pas que je fasse cela, et elle savait que mes cuisses été plus sensibles. Elle s’est remise à claquer mes fesses, et j’ai commencé à pleurer, pas parce que je n’acceptais plus mon sort, mais parce que je relâchais la pression. Quand Fannie a pris la cuillère, j’avais peur, mais elle l’a sentie alors elle a caressé mes fesses, pour que j’ai une pause et pour que je comprenne que je n’avais pas de raison de m’inquièter.
-          Marie a choisi le nombre 20, donc je te laisse choisir, comment je les donne !
-          Je ne comprends pas !
-          10 sur chaque d’un coup ! 20 en alternance ! 5/5/5/5 !
-          20 !...
-          Oui, je lui ai demandé de choisir entre 20 et 40 !
-          … elle devait se douter de quoi tu parlais !
-          Alors tu choisis quoi !
-          Alternance !
-          Bien !
-          Fannie !
-          Oui !
-          Après c’est fini ?
-          Oui ! Normalement ! Tu vas compter pour que je ne me trompe pas !
-          CLACK
-          1
-          CLACK
-          2
-          CLACK
-          3
-          CLACK
-          4
-          CLACK
-          … aïe !
-          Tu ne sais plus compter !
-          5
-          CLACK
-          6
-          CLACK
-          AIE ! 7 !
-          CLACK
-          ….8 !
-          CLACK
-          9
-          CLACK
-          …. Aïe 10 ! Fannie ça fait trop mal!
- Et nous sommes qu'à la moitié!
- CLACK!
- ...11
- CLACK!
- 12... j'en peux plus Fannie!
- Alors on va faire ça vite!
- CLACK! CLACK! CLACK! CLACK!
- aaaaaaahhhhh 16!
- Tu vos ça va vite!
-...
- CLACK!
- 17
- CLACK!
- 18
- CLACK!
-19
- CLACK!
- ...20...
-          Lèves-toi ! Dans le coin !
J’ai voulu caresser mes fesses mais Fannie m’en a dissuadé en me donnant un coup de cuillère sur chaque fesse.
-          Je vais ranger la cuillère, tu ne bouges pas de là avant mon retour.
Elle est partie voir Marie dans le salon avant de remonter me voir. Elle voulait savoir si Marie savait d’où venaient mes bleus dans le dos.
Marie a rougie en lui disant qu’elle savait qu’il y’avait un groupe de jeunes à l’école qui me provoqué souvent et que je me défendais  et qu’ils finissaient toujours par avoir le dessus sur moi.
Fannie est remontée me voir, elle s’est assise sur le lit !
-          Viens me voir mon Petit cœur !
-         
-          Arrête de pleurer !
-         
-          Je sais d’où viennent les bleus dans ton dos.
-          Fannie… !
-          Tu sais que tu peux me parler mon Petit cœur !
J’étais debout devant elle, je pleurais, je ne parvenais pas à lui dire ce que je voulais.
-          Voudrais-tu en parler avec Marie ?
-          Nooon !
-          D’accord, mon Petit cœur ! Avec Adeline alors ?
Je n’ai pas eu le temps de répondre que maman était à la porte, elle avait convaincue Marie de rester dans le salon. Après que Marie ait expliqué la provenance de mes bleus, elle avait compris que si je m’étais blessé c’était à cause de cela, d’une situation où je n’avais pas réussi à prendre le dessus.
-          Mon Petit cœur !
-          Maman !
-          Chut ! Promets-moi une chose, que si ça se reproduit tu viens nous en parler ! Mais ne te fais pas de mal, tu vois où cela te mène !
-          Maman…
-          Qu’est-ce qu’ils t’ont fait ?
-          Maman, c’est juste un, les autres je m’en fous j’ai réglé le problème… mais… mais… mais…
-          Doucement !
-          Mais il y’en a un qui a continué !
-          Mon ange il t’a …
-          Noooon, j’ai réussi à le repousser avant !
Adeline et Fannie m’ont serré dans leur bras, et Marie est arrivée à la porte.
-          C’est la mienne pas la votre !
-          Non c’est aussi ma fille !
-          Non, je suis à personne !
-          C’est bien dit Petit cœur !
-          Merci Fannie !
-          Mon ange pourquoi tu ne m’as rien dit !
-          Je ne sais pas Marie !
-          Quelqu’un était au courant ?
-          Oui !
-          Qui ?
-          La personne qui m’a trouvé à l’école après que ce soit arrivé.
-          La personne qui t’a ramené l’autre jour ?
-          Hier, oui !
Marie s’en est voulu parce qu’elle m’avait presque soupçonné d’avoir quelqu’un d’autre en nous voyant ensemble dans la voiture. Elle m’a serré dans ses bras, Adeline et Fannie sont ressorties de la chambre. Marie m’a consolée, je me suis endormie à ses côté, quand nous sommes ressorties de la chambre, Adeline et Fannie sont sortie de la chambre de Fannie.

vendredi 28 octobre 2011

Double

-          Très bien alors vas-t’en !
-          C’est vraiment ce que tu veux ?
-          Oui !
-          Très bien, fuis encore la situation, MAIS NE VIENS PAS PLEURER APRÈS !
-          Dégage !
J’ai claqué la porte, mais ce que je ne savais pas, c’est que Fannie venait de rentrer.
Elle a monté les escaliers pendant que Marie descendait.
-          Je m’en occupe, attends moi en bas !
-          J’en ai marre de …
-          Attends-moi en bas, s’il te plaît !
-          Peut être !
Elle est rentrée dans la chambre, en colère à cause de la porte qui avait claqué.
-          Je veux pas te voir ! Vas-t’en Marie !
-          Ce n’est pas Marie ! C’est Fannie !
-          Il manquait plus que toi !
-          Merci Nancy !
-          MAIS LAISSEZ MOI !
-          Tu étais obligé de claquer la porte !
-          Oui, juste pour toi !
Je n’ai pas eu le temps, de rien dire de plus, qu’elle m’avait pris par le bras et tiré sur ses genoux. Sans même protester, je me suis retrouvée déculottée avant la première claque. Pour que Fannie me déculotte directement, je l’avais vraiment fâché.
J’ai essayé de me relever, mais elle a appuyé sur mon dos, et je ne pouvais plus bouger, et j’ai senti la première claque. Elle claquait mes fesses, chacune leur tour, avec beaucoup de fermeté. Sa colère s’évacuait, mais la mienne augmentait. J’enrageais, allongée sur les genoux de Fannie, quand nous avons entendu un grand bruit dans la cuisine. Fannie m’a libéré en me laissant sur le lit.
-          Fannie !
-          Toi, tu reste ici ! Il faut qu’on parle de toute façon !
-          Fannie !
-          Quoi ?
-          Si elle est blessée tu m’appelle s’il te plaît !
-          Peut être !
-          AAAAAAAAhhhhhh !!!!!!
Je me suis jeté sur le lit, elle venait d’augmenter ma colère, je me sentais coupable, parce que j’avais peur que Marie ait fait une bêtise.
J’essayé d’écouter ce qui se passait en bas, mais ma colère m’empêchait de me concentrer pour entendre leur discussion. J’ai entendu Marie se fâcher, et Fannie essayer de la raisonner. Marie a crié d’un coup, et d’un coup le silence a éclaté pour quelques secondes, avant d’entendre Marie supplier Fannie. Mais quand Fannie commençait quelque chose, elle le finissait. C’était la première fois que Fannie fessait Marie, donc, elle ne connaissait pas encore les réactions de Marie. Finalement, Marie a profité d’un moment d’inattention de Fannie pour se libérer, elle était à genoux parterre, les fesses nues et rouges en regardant Fannie le visage plein de larmes et la suppliant de nouveau. Fannie l’a relevé, et la mise au coin en lui disant de se tenir tranquille, et qu’elle revenait après m’avoir parlé.
J’étais encore sur le lit, le pantalon et ma culotte à mes pieds retenus par mes chaussures, mais j’enrageais encore.
-          Mon petit cœur…
-          Laisse MOI !
-          Je vois que tu es encore en colère !
-          Bravo, tu es vraiment très forte !
-          Est-ce qu’on peut parler ou tu préfères une autre fessée ?
-          JE VEUX qu’on me laisse tranquille !
Fannie s’est installée à califourchon sur mes cuisses, et elle recommençait à claquer mes fesses. Je regrettais déjà mes paroles, mais j’avais trop d’orgueil pour l’admettre et Fannie le savait. Je ne pouvais plus bouger ou presque, seulement mes mains pouvaient encore manifester leurs désaccords, mais Fannie les a vite maîtrisé quand j’ai tenté de protéger mes fesses.
Après de longues minutes, j’ai arrêté de crier, je ne disais rien, pas de cris, pas de pleurs, rien. Je sais que cela a inquiété un peu Fannie qui a arrêté les claques, ce qui m’a fait pleurer. Ma colère s’est arrêtée, mais la fessée a repris encore un peu, jusqu’à ce que j’essaye de parler à Fannie.
-          Fannie ! Pardon !
-          Lèves-toi !
-         
-          Dans le coin, et tu m’attends je vais voir Marie.
Quand Fannie est descendue, Adeline est arrivée !
-          Peux-tu éviter la cuisine et la chambre des filles pour quelques minutes.
-          Oui !
-          Merci !
-          Il y’a eu un problème ?
-          J’appellerai plus cela une crise de colère entre deux filles qui ne se sont pas parlé depuis un moment et maintenant ça explose.
-          Les deux ?
-          Oui ! Marie dans la cuisine et ta fille dans la chambre ! Et double ration pour ta fille.
Fannie est allée voir Marie dans la cuisine et maman est partie dans le salon, elle ne voulait pas monter dans sa chambre, pour ne pas provoqué de réactions de ma part.
Marie attendait dans le coin, elle pleurait, ses fesses étaient rouges. Fannie lui a demandé si elle se sentait mieux, et elle l’a prit dans ses bras, puis elles ont discuté.
Marie voulait venir me voir, mais Fannie lui a demandé d’attendre qu’elle m’ait parlé, elle est montée pour me voir. Dans l’escalier, elle m’entendait déjà l’appeler et appeler Marie aussi. Elle n’aimait pas que je fasse cela, parce qu’elle savait que lorsque je faisais cela, je me sentais pas très bien. En entrant dans la chambre, elle s’est d’abord assurée que ma colère était vraiment passée. Elle m’a serré dans ses bras, elle m’a emmené jusqu’au lit, elle s’est assise et elle me berçait doucement. Je me suis endormie dans ses bras.
Adeline sachant comment je pouvais être méchante quand j’étais en colère, elle a pris Marie dans ses bras pour la consoler. Marie s’est endormie aussi dans les bras de maman.

mercredi 19 octobre 2011

Sous la douche!


-          Nancy !
-         
-          Où es-tu ?
-         
Fannie venait de rentrer elle savait que j’étais là, parce que j’avais laissé mes chaussures en bas de l’escalier. Elle allait redescendre quand je lui ai enfin répondu.
-          Je suis là !
-          Où !
-          Dans la salle de bain !
-          Mais qu’est-ce qui se passe ?
J’étais nue dans la baignoire et je pleurais, je venais de me disputer avec Marie, et je ressentais toutes sortes d’émotions en même temps.
-          Pourquoi es-tu là ?
-          Je voulais prendre une douche, mais je n’arrive pas à tourner le robinet !
Elle l’a tourné pour moi et elle a vu que je tremblais.
- Tu as froid ?
- non !
Je me suis mise debout, pour passer l’eau sur moi.
-          As-tu mangé ce soir ?
-          Non !
-          Et ce midi ?
-          Non !
-          Et …
-          Pas depuis la dernière fois qu’on a mangé ensemble.
-          Hier midi ?
-          Oui !
Elle a claqué mes fesses une fois chacune, en me disant que j’avais dit que je ne ferai plus cela.
J’en ai lâché la douche de surprise parce que je n’avais pas eu mal grâce à l’eau, mais je ne m’y attendais pas. Fannie a repris la douche, pour me l’a redonné.
-          Fannie, j’ai mal !
-          Où ?
-          À l’intérieur !
Elle savait ce que cette phrase voulait dire, alors elle m’a aidé à éteindre le robinet, puis elle a passé une serviette autour de mes épaules et elle m’a serré dans ses bras. Je pleurais encore. Elle a donc soulevé la partie de serviette qui protégeait mes fesses, elle a pris la brosse à cheveux sur le lavabo.
-          Es-tu sure que c’est ce que tu veux ?
-         
-          J’irai jusqu’au bout !
Comme réponse elle a obtenue un long pleur, rempli de colère, alors elle m’a serré encore dans ses bras en espérant vraiment, que ça m’aiderait à me calmer, mais cela ne suffisait pas. Elle a commencé par quelques claques sur les fesses, mais en voyant que l’effet qu’elle attendait n’arrivait pas, elle a commencé avec la brosse. À chaque claque, je laissais s’échappé un cri, un mélange de douleur et de soulagement. Fannie savait que la fessée commençait à prendre du sens pour moi, elle n’était pas sévère mais assez ferme pour que je ressente une douleur. Mes fesses étaient déjà bien rouges et elle a décidé de passer à la vitesse supérieure, et elle claquait mes fesses de plus en plus vite, et l’alternance ne se faisait pas de façon régulière. J’ai commencé à craquer, mais elle a continué, elle attendait le signe que l’effet qu’elle voulait était arrivé.
Je sentais mes fesses qui chauffaient de plus en plus et je retenais de moins en moins mes pleurs. C’est ce que Fannie voulait, que je relâche mes émotions, elle me tenais toujours dans ses bras, et elle sentait chaque mouvement de mon corps. Elle a arrêté la fessée quand je ne retenais plus mes pleurs et que mes jambes ont fléchies sous l’effet de la brosse arrivant sur mes fesses.
Elle m’a serré fort dans ses bras, elle m’a tenue comme ça, jusqu’à ce que j’arrête de pleurer et elle caressait mes fesses de temps en temps. Une fois calmée je lui ai parlé de ma dispute avec Marie, et elle a réussi à me faire promette de ne plus me laisser mourir de faim.

mardi 18 octobre 2011

Fessée protection



Je savais que Adeline et Fannie ne restaient jamais fâchées après moi, après chaque fessée, nous discutions pour trouver des solutions. Un jour, je suis rentrée à la maison, elles étaient là toutes les deux à discuter dans la cuisine. Je suis arrivée à la porte, et je ne savais plus quoi faire, je les ai regardé toutes les deux, mais je ne pouvais prononcer aucun mot, alors, je suis montée dans ma chambre. En arrivant, je me suis cachée la tête dans l’oreiller et j’ai pleuré, maman est venue me voir, mais je ne pouvais rien lui expliquer. Elle est redescendue, et quelques minutes plus tard, Fannie est venue me voir, mais elle a obtenue le même résultat. Elles ne savaient plus quoi faire pour m’aider, elles savaient toutes les deux que j’allais finir par éclater, mais elles ne parvenaient pas à trouver un moyen pour que ça n’arrive pas. Alors, elles ont employé les grands moyens, elles sont venues toutes les deux dans ma chambre, et elles ont retiré tout ce qui pourrait me servir à me faire du mal. Je savais qu’elle faisais cela pour me protéger, mais cela m’enrageais encore plus. Mon téléphone a sonné, c’était Marie, j’ai levé ma tête pour voir, et maman et Fannie savaient que j’allais bientôt éclater. Je n’ai pas répondu au téléphone, je ne voulais pas parler à Marie. Le téléphone de la maison a sonné, c’était le propriétaire de l’appartement qui repoussait encore la date de la remise des clés. Maman était un peu contrariée, mais Fannie la rassurée en lui disant que notre présence ne la dérangeait pas. Puis le téléphone a encore sonné, elles sont sorties de la chambre toutes les deux. J’ai reçu un message sur mon téléphone « Je m’inquiète pour toi, j’appelle chez Fannie ! Ne fais pas de bêtises s’il te plait ! Je tiens à toi ! »
Maman était au téléphone avec Marie, quand j’ai ouvert la fenêtre en criant et j’ai jeté mon téléphone, et Fannie est entrée dans la chambre, au moment où j’étais entrain de monter pour aller sur le toit !
-          Non Petit cœur !
-         
J’ai mis un pied dehors, mais je n’ai pas eu le temps de faire autre chose que Fannie m’avait rattrapé, rentrer à l’intérieur, et couché sur ses genoux. J’ai réalisé ce qui venait de se passer quand j’ai senti le déculottage rapide de Fannie. Les premières claques sont tombées mais je criais, alors maman est venue fermer la fenêtre, après avoir rassurée Marie au téléphone en lui disant que j’étais à la maison et qu’on s’occupait de moi. Maman s’était assise en dessous de la fenêtre, elle avait l’air un peu découragée. La fessée n’a pas duré longtemps, mais elle était ferme et sévère par contre, je sentais chacune des claques sur mes fesses et la douleur me procurait un certain soulagement. Fannie m’a relevé, j’étais debout devant elle, les fesses rouges, maman l’a rejoint sur le lit.
-          Qu’est-ce qui se passe Petit cœur ?
-         
-          Mon petit cœur, Marie vient de me dire ce que tu lui avais dit aujourd’hui.
-          Elle n’est pas capable de garder quelque chose pour elle, de toute façon.
-          Tu te calme, on est là pour en discuter.
-          Il faut toujours qu’elle fasse ça !
-          Mon petit cœur, explique nous au lieu de te facher.
-          Mais il n’y a rien à expliquer !
-          Non, tu arrêtes cela toue de suite, sinon, moi aussi je vais …
-          Tu vas quoi, tu vas me fesser ?
-          Mon petit cœur si elle le fait elle aura raison, alors calme toi !
-          Eh bien qu’elle le fasse alors…
Mon esprit de provocation avait repris le dessus, mais ma mère était aussi rapide que Fannie sous la provocation, je me suis retrouvée sur ses genoux avant même d’avoir fini ma phrase, et avant d’en commencer une autre, j’étais de nouveau fessée. Celle là aussi a été courte, mais ferme. Plus mes fesses chauffaient plus je me sentais mieux, ce qui peut paraître contradictoire pour certains. Maman m’a relevé, et je suis partie me cachée dans un coin pour pleurer, parce que je pensais que Fannie et maman étaient fâchée après moi. Maman a voulu me rejoindre mais Fannie l’a retenue et elle l’a serré dans ses bras, en lui disant de me laisser me calmer. Je crois qu’en réalité, Fannie ne voulait pas que maman fasse quelque chose qui m’aurait encore mise en colère. Elles sont descendues dans la cuisine en me laissant dans mon coin. Elles se sont inquiétés quand elles ne m’ont plus entendu pleurer, alors elles sont remontées. J’étais endormie en boule dans mon coin, les fesses rouges, mon pantalon et ma culotte en bas des jambes et le visage plein de larmes. Mais comme j’avais l’air de bien dormir, elles ont juste enlevé mes chaussures, mon pantalon et ma culotte, mis un oreiller sous ma tête et une couverture sur moi, et elles sont redescendues. À  mon réveil, je me suis rhabillée et je suis descendue, j’ai trouvé Fannie, Adeline et Marie dans le salon, et mes yeux se sont remplie de larmes. Fannie m’a serré dans ses bras en me disant qu’elles n’étaient pas fâchée après moi, mais que je devais m’expliquer avec eux sur ce qui s’était passé.