mardi 18 octobre 2011

Fessée protection



Je savais que Adeline et Fannie ne restaient jamais fâchées après moi, après chaque fessée, nous discutions pour trouver des solutions. Un jour, je suis rentrée à la maison, elles étaient là toutes les deux à discuter dans la cuisine. Je suis arrivée à la porte, et je ne savais plus quoi faire, je les ai regardé toutes les deux, mais je ne pouvais prononcer aucun mot, alors, je suis montée dans ma chambre. En arrivant, je me suis cachée la tête dans l’oreiller et j’ai pleuré, maman est venue me voir, mais je ne pouvais rien lui expliquer. Elle est redescendue, et quelques minutes plus tard, Fannie est venue me voir, mais elle a obtenue le même résultat. Elles ne savaient plus quoi faire pour m’aider, elles savaient toutes les deux que j’allais finir par éclater, mais elles ne parvenaient pas à trouver un moyen pour que ça n’arrive pas. Alors, elles ont employé les grands moyens, elles sont venues toutes les deux dans ma chambre, et elles ont retiré tout ce qui pourrait me servir à me faire du mal. Je savais qu’elle faisais cela pour me protéger, mais cela m’enrageais encore plus. Mon téléphone a sonné, c’était Marie, j’ai levé ma tête pour voir, et maman et Fannie savaient que j’allais bientôt éclater. Je n’ai pas répondu au téléphone, je ne voulais pas parler à Marie. Le téléphone de la maison a sonné, c’était le propriétaire de l’appartement qui repoussait encore la date de la remise des clés. Maman était un peu contrariée, mais Fannie la rassurée en lui disant que notre présence ne la dérangeait pas. Puis le téléphone a encore sonné, elles sont sorties de la chambre toutes les deux. J’ai reçu un message sur mon téléphone « Je m’inquiète pour toi, j’appelle chez Fannie ! Ne fais pas de bêtises s’il te plait ! Je tiens à toi ! »
Maman était au téléphone avec Marie, quand j’ai ouvert la fenêtre en criant et j’ai jeté mon téléphone, et Fannie est entrée dans la chambre, au moment où j’étais entrain de monter pour aller sur le toit !
-          Non Petit cœur !
-         
J’ai mis un pied dehors, mais je n’ai pas eu le temps de faire autre chose que Fannie m’avait rattrapé, rentrer à l’intérieur, et couché sur ses genoux. J’ai réalisé ce qui venait de se passer quand j’ai senti le déculottage rapide de Fannie. Les premières claques sont tombées mais je criais, alors maman est venue fermer la fenêtre, après avoir rassurée Marie au téléphone en lui disant que j’étais à la maison et qu’on s’occupait de moi. Maman s’était assise en dessous de la fenêtre, elle avait l’air un peu découragée. La fessée n’a pas duré longtemps, mais elle était ferme et sévère par contre, je sentais chacune des claques sur mes fesses et la douleur me procurait un certain soulagement. Fannie m’a relevé, j’étais debout devant elle, les fesses rouges, maman l’a rejoint sur le lit.
-          Qu’est-ce qui se passe Petit cœur ?
-         
-          Mon petit cœur, Marie vient de me dire ce que tu lui avais dit aujourd’hui.
-          Elle n’est pas capable de garder quelque chose pour elle, de toute façon.
-          Tu te calme, on est là pour en discuter.
-          Il faut toujours qu’elle fasse ça !
-          Mon petit cœur, explique nous au lieu de te facher.
-          Mais il n’y a rien à expliquer !
-          Non, tu arrêtes cela toue de suite, sinon, moi aussi je vais …
-          Tu vas quoi, tu vas me fesser ?
-          Mon petit cœur si elle le fait elle aura raison, alors calme toi !
-          Eh bien qu’elle le fasse alors…
Mon esprit de provocation avait repris le dessus, mais ma mère était aussi rapide que Fannie sous la provocation, je me suis retrouvée sur ses genoux avant même d’avoir fini ma phrase, et avant d’en commencer une autre, j’étais de nouveau fessée. Celle là aussi a été courte, mais ferme. Plus mes fesses chauffaient plus je me sentais mieux, ce qui peut paraître contradictoire pour certains. Maman m’a relevé, et je suis partie me cachée dans un coin pour pleurer, parce que je pensais que Fannie et maman étaient fâchée après moi. Maman a voulu me rejoindre mais Fannie l’a retenue et elle l’a serré dans ses bras, en lui disant de me laisser me calmer. Je crois qu’en réalité, Fannie ne voulait pas que maman fasse quelque chose qui m’aurait encore mise en colère. Elles sont descendues dans la cuisine en me laissant dans mon coin. Elles se sont inquiétés quand elles ne m’ont plus entendu pleurer, alors elles sont remontées. J’étais endormie en boule dans mon coin, les fesses rouges, mon pantalon et ma culotte en bas des jambes et le visage plein de larmes. Mais comme j’avais l’air de bien dormir, elles ont juste enlevé mes chaussures, mon pantalon et ma culotte, mis un oreiller sous ma tête et une couverture sur moi, et elles sont redescendues. À  mon réveil, je me suis rhabillée et je suis descendue, j’ai trouvé Fannie, Adeline et Marie dans le salon, et mes yeux se sont remplie de larmes. Fannie m’a serré dans ses bras en me disant qu’elles n’étaient pas fâchée après moi, mais que je devais m’expliquer avec eux sur ce qui s’était passé.

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